Mes psychiatres
Je ne trouve pas de spychothérape de disponible. Ils sont soit en vacances, aux sports d'hiver sans doute, soi déjà totalement complet. On me renvoie à SOS dépression au cas où "mon appel soi urgent". Ri-di-cule ! J'ai besoin d'un bon spy, qui sache m'écouter et me guider.
Le premier psychiatre que j'ai consulté est un abruti. Non pas que je connaisse mieux son métier que lui-même. Non, il m'a d'avantage perturbé qu'aider. Le seul bénéfice que j'ai gagné à son contact, et celui de m'affirmer que je déteste ma mère.
Avec ce psychiatre, j'ai découvert au grand jour que ma mère est un fardeau pour moi. Il m'a même conseillé de l'éliminer de mon cercle de connaissance ; chose que je n'ai encore jamais réussi à faire. Je suis fille unique et éliminer sa mère, c'est restreindre encore plus sa déjà toute petite famille.
Le second psychiatre que j'ai consulté été un pâpe de la psychanalyse. Un homme qui avait l'air très efficace mais que j'ai du céssé de voir. Ses consultations était trop cher et ma mutuelle trop radin. J'en attrapé pour plus de 1.000 euros de ma poche par an, je ne pouvais me le permettre. Dommage, vraiment dommage car je me sentai bien avec lui.
Mon troisième psychiatre m'a été conseillé par la soeur d'un ami. C'est la première femme que j'ai consulté. Je pensais que celà pourrait peut-être m'aider que de me confier à une femme et non plus à un homme. Ce fus là encore peine perdue.
Son écoute était agréable, ses réflexion un peu moins, mais je l'apprécié assez, du moins au début de ma thérapie. Ensuite, elle a refusé de me prescrire le moindre médicament car "madame" ne voulait pas se rabaisser à jouer le médecin de base.
Cette psychanalyste avait une trop haute opinion d'elle-même. Au bout de 3 scéance, j'ai céssé de la voir.
Aujourd'hui, j'harcèle au téléphone une dizaine de psy pour que l'un d'eux accèpte de me voir. Je leur laisse des messages sur leur répondeur mais aucun ne me rappel. L'intonation de ma voix leur laisse peut-être penser que je suis irrécupérable ?